Au fond, Hillel Kogan n’est pas bien sûr d’aimer tellement les Arabes – et ce n’est pas sans générer, chez ce chorégraphe israélien de gauche, une certaine culpabilité. Ou plutôt, pas certain de si bien connaître l’arabité qui l’entoure, lui qui parle mieux français qu’arabe et dont les références, la culture, l’imaginaire sont avant tout nourris d’Occident. Continuer la lecture « Amour de l’Autre et mauvais esprit »
Amour de l’Autre et mauvais esprit
«We love Arabs» de Hillel Kogan et Adi Boutrous