Salut Lazare Gousseau,
Hier soir, je me suis pris ton Calderón sur la tronche. Pas une petite affaire que cette affaire-là !
De tous les metteurs en scène de ma génération en activité à Bruxelles, tu es sans doute le plus redoutable dialecticien. Alors, après quelques heures d’atermoiements, je me dis que la forme épistolaire constitue peut-être la bonne manière de rendre compte de ton impressionnant spectacle, présenté en ce moment au Rideau. Tu me répondras ?