Ton chaudron, Lazare…

Après avoir vu son « Calderón » de Pasolini au Rideau de Bruxelles, Antoine Laubin écrit au metteur en scène Lazare Gousseau.

Salut Lazare Gousseau,

Hier soir, je me suis pris ton Calderón sur la tronche. Pas une petite affaire que cette affaire-là !
De tous les metteurs en scène de ma génération en activité à Bruxelles, tu es sans doute le plus redoutable dialecticien. Alors, après quelques heures d’atermoiements, je me dis que la forme épistolaire constitue peut-être la bonne manière de rendre compte de ton impressionnant spectacle, présenté en ce moment au Rideau. Tu me répondras ?

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